Aux abords de la bibliothèque François Mitterrand, la passerelle Simone de Beauvoir. Tout ici est taillé à des dimensions gigantesques, et le vide de l'ensemble donne une atmosphère assez étrange. Seule activité, le flux automobile des voies sur berges et un bateau-mouche égaré. Comme sur le Pont des Arts, les parapets grillagés exposent leurs collections de "cadenas d'amour". Plutôt enclin à les trouver un peu ridicules, je leur concède finalement le statut de seule petite trace d'humanité dans cet espace qui en manque un peu.
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